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Myriam Rubis

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Elle aime les mots. De toutes les couleurs, de tous les étages (même de bas-étages), de toutes les langues.
Les mots de papier d'abord: pendant plusieurs années, elle a été traductrice le jour, ombre dans une entreprise et le soir pilier d’un atelier d'écriture.
Les mots vivants surtout: elle a rencontré Henri Gougaud et découvert la parole vibrante, celle qui se tisse en présence sur le fil du vivant. En ces temps de grande solitude électronique, elle a senti le côté révolutionnaire de la chose.
Sur son chemin, elle rencontre aussi le théâtre et surtout le clown : cette voie du clown lui a fait sentir, physiquement, que le conte est avant tout relation... Alors elle a osé le passage de l’écrit à l’oral, de l’ombre à la lumière, et elle a commencé  à conter dans tous les endroits où il y avait des oreilles pour l’écouter: scènes ouvertes, cabarets, troquets parisiens… et même dans la rue ! Et depuis, elle n’a pas arrêté…

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